… Peut-être n’étions nous qu’un stylo (ou un doigt sur clavier) qui traduisait les divagations de l’auteur, mais aussi, un lecteur qui divague également au gré des rebondissements, et meurt en tant que lecteur, qui a épuisé l’intrigue. Et un lecteur qui veut revivre, va dans une bibliothèque. La boucle est bouclée ?