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En écoute : Voyage immobile nº5
Pendant ce temps de confinement obligatoire, nous vous proposons de rester chez vous et voyager, immobile.
Voyage Immobile n°5
Dans le restaurant - Fred Nevché
Au son des tubes diffusés à la radio d’une pizzeria, un homme retrouve peu à peu la fille aux yeux chocolat.
Porte Soubeyran
Voix : Géraud Cayla – avec Philippe Laliard, Fanny Lavergne, Mickael Toledano
Fred Nevché explore le slam, l’électro-rock et la chanson, et abolit les frontières entre musique et poésie. Il a grandi et vit à Marseille.
Voyages immobiles, un parcours de douze fictions sonore, a été réalisé par Begat Theater en 2019 sur une proposition du Centre Jean Giono à Manosque.
Pour réaliser ce projet, douze écrivains ont suivi les mêmes consignes d’écriture, chacun dans un lieu différent tiré au sort. Auteur·e de roman, de théâtre, inventeuse d’histoires vraies, poète, slameur, jeune ou experimenté·e, originaire d’ici ou d’ailleurs… Douze profils distincts pour autant de styles d’écritures, de sensibilités et de voix singulières. À partir des textes, les artistes de Begat Theater ont imaginé et réalisé douze créations sonores.
En attendant le déconfinement qui permettra d’écouter les voyages à l’endroit même de leur écriture, nous mettons les 12 Voyages Immobiles en libre écoute sur notre site.
Un treizième voyage, écrit par 2 classes de 3ème SEGPA du Collège Jean Giono de Manosque, est en cours de création. Dion Doulis s’occupe actuellement du montage sonore, les enregistrements ont été réalisés avec les élèves pendant la dernière semaine de cours en mars. En savoir plus.
Voyages immobiles est une création conçue par Karin Holmström
Création sonore : Christophe Modica
Protocole d’écriture élaboré par l’auteur Patrick Goujon
Les autres Voyages immobiles sont également en écoute.
Les 12 auteurs invités : Fabien Arca, François Beaune, Sonia Chiambretto, Julien Delmaire, René Frégni, Karim Kattan, Fred Nevché, Régis de Sá Moreira, Fanny Taillandier, Sandra Reinflet, Blandine Rinkel, Carole Zalberg.
« J’étais parti. Je me glissais sur un petit banc. Je m’asseyais et je restais
complètement immobile. C’était le grand départ. »
- Jean Giono, Le Voyageur immobile